D'un point de vue technique, la réalisation d'Uncharted 2 est une merveille

Final Fantasy XIII passé multiplateformes et de toute manière loin de sortir en occident, on avait bon espoir que Gran Turismo 5 soit l'ambassadeur de luxe du Noël de la PS3. En vain, Polyphony Digital n'est – encore ! – pas prêt. On aurait alors pu se rabattre sur God of War III... Que neni, lui aussi est repoussé à mars 2010. Résultat, tous les espoirs des joueurs de l'univers PlayStation se retrouvent portés sur Uncharted 2 que Sony a marketé comme son produit phare de fin d'année. « Produit », le terme est d'ailleurs bien choisi, car c'est de cela qu'il s'agit avec Uncharted 2, un excellent produit, passe-partout, sans excès d'âme, mais qui assure le grand spectacle dans tous les domaines. Oui, on peut bel et bien parler d'Uncharted 2 comme d'un blockbuster. Le Gears of War de la PS3, le jeu qui fera vendre des consoles, c'est bien lui.

Pourtant, la licence Uncharted est jeune, née avec quelques autres nouvelles franchises développées par Sony pour imposer l'identité de la PS3. On pense bien sûr à Resistance ou à Killzone. Deux licences qui, d'ailleurs, sont montées en puissance avec leurs derniers épisodes sur PS3. Mais rien qui ne tienne la comparaison avec la progression enregistrée par Uncharted qui, d'un premier épisode très sympathique et plutôt joli, réussit à s'imposer comme la bombe de la fin d'année après voir décroché la mâchoire des critiques du monde entier lors du dernier E3. Qu'on se le dise, d'un point de vue technique, la réalisation d'Uncharted 2 est une merveille. Le pixel est fin, la vue porte loin, la modélisation est exemplaire et l'animation assure fluidité et réalisme. Ce à quoi n'enlève rien une mise en scène souvent vertigineuse, avec des angles de caméra acrobatiques et spectaculaires, qui ne gênent par ailleurs quasiment jamais la progression. Sans compter sur la qualité des cinématiques, les animations faciales, le jeu d'acteur (en V.O.). Non vraiment, en terme de conception, Uncharted 2 respire la qualité et offre un rendu somptueux d'un bout à l'autre de l'aventure.

      LA NOTE MADE-IN-GAME: 19.5/20

  Gears of war II est un jeu style action fps développé par Epic Game  et edité par Microsoft , sorti le 7 novembre 2010 sur xbox 360.

Le point graphique

  Les graphismes de ce jeu restent correct meme si cela aurait pu etre mieux . Le moteur graphique utilisé et le moteur UnrealEngine 3.5 .

  Les effects de sang sont tres impressionnant et les textures sont bien mises en valeur par un decor époustouflant qui rivalise avec les plus beau fps sortient cette année .

 La note graphique : 16 /20

 Le point jouabilité

  Pendant tout le jeu nous sommes toujours porté dans des sequences qui va en ésouffler plus d' un   . L'IA compte probablement parmi l'une des plus convaincantes du moment .

La note jouabilité :  19/20

Le point durée de vie

 La durée de vie est de 8-9 h dans le mode campagne solo mais l' intérêt ce passe dans le mode campagne multi qui est beaucoup plus complet que le multi de gears of war 1 .

La note durée de vie : 17/20

Le point sénario

L'histoire se déroule six mois après la fin du premier volet, après avoir remporté ce que l'humanité pensait être une grande bataille face aux Locustes, en réussissant à larguer la Bombe Lumière dans le . L'explosion des bombes (qui s'avère être plutôt des torpilles) n'a pas eu l'effet voulu, certes elles ont éliminé quelques bases locustes mais trop peu pour réellement retourner la situation. Comme le dira la reine "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort", et la horde se remit en marche, plus décidée que jamais à éradiquer les humains. De plus, les villes sont englouties et disparaissent, dévorées par une mystérieuse menace, les unes après les autres autour de Jacinto, dernier bastion de l'Humanité, marquant le retour des Locustes. La Coalition est alors contrainte de lancer son dernier assaut ; l'escouade Delta est bien évidemment en première ligne... Les braves soldats de la CGU vont devoir affronter de près l'horreur et l'enfer de la guerre. Fort d'un Lanzor largement amélioré et d'armes optimisées pour cette mission suicide, plus que jamais l'escouade Delta pourra compter sur ses homologues combattants pour déjouer la Horde.

Le but de cet opus est donc toujours d'éradiquer la race Locuste, mais cette fois-ci en attaquant directement dans leur territoire.

La note sénario : 18/20

                              LA NOTE MADE-IN-GAME: 17.5/20

                                                                                                                                                                     Domi

voila ma 1 er video deballage sur dailymotion .

Need for speed revient en force avec ce nouvelle opus nommé '' hot pursiut ''

En effet la lisence revient à ses origine ( fuillard contre police ) et avec des

graphismes a couper le souffle .Vous pouvez incarner les forces de l ordres

ou les fuillards dans des poursuit ou des courses au espect arcades et un

mode online tres interessent avec le nouveau systeme autolog qui est en

quelque sorte votre mur un peu comme facebook .Sur ce mur vous pouvez

poster des photos prisent en course ou en mode exploration.Le mode solo

et composé en 2 parties : la partie flic et la partie fuillard . chaque partie

comportent 20 niveau que l on passe en fesant les misson qui sont afficher

sur la grande carte du monde solo .En gros ce need for speed est un petit

bijou pour les fans des 1 er jeux de la licence et ceux qui aime les jeux de

   course type arcade.

   LA NOTE MADE-IN-GAME: 19/20

Domi

   Ridge Racer… Un titre au nom évocateur de souvenirs inoubliables pour tous ceux qui ont découvert la Playstation à ses débuts. A l’époque, la 3D n’en était qu’à ses balbutiements, et l’arrivée de ce jeu marqua un véritable tournant, contribuant grandement à l’immense succès que connut la première machine de Sony. Mais au fil des épisodes, le lustre Ridge Racer s’est quelque peu estompé, peinant à faire face à la déferlante de jeux de course que proposent aujourd’hui de nombreux éditeurs. Le défi que représente l’adaptation de Ridge Racer sur PSP est donc double : promouvoir une nouvelle console qui a tout à prouver et relancer la magie d’une série un peu essoufflée.

Dès les premières secondes, on sent que les retrouvailles vont être heureuses. Ainsi, c’est une scène cinématique époustouflante qui, dans la grande tradition des jeux Namco, accueille le joueur. Mettant magnifiquement en valeur l’écran de la PSP, elle marque un fossé avec tout ce qu’on avait pu voir sur portable jusqu’alors, et promet beaucoup pour la suite. La découverte des menus ne déçoit pas non plus : il sont très clairs et bénéficient d’un design soigné. Mieux, ils laissent entrevoir un nombre de véhicules et de circuits bien plus important que par le passé. Une agréable voix (française, qui plus est) accompagne l’ensemble. Avant même de commencer à jouer, on est sous le charme.

On commence alors les premiers tours de piste, et c’est le choc ! Le jeu est magnifique, l’animation parfaitement fluide, et le tout est rythmé par une musique délirante (si tenté que l’on aime ce style si particulier) comme seul Ridge Racer en a jamais proposé, mais aussi par les commentaires d’une voix off qui participent beaucoup à l’ambiance. Les sensations d’antan reviennent alors au galop. Car Ridge Racer ne ressemble à aucun autre jeu de course.

Si le gameplay reste finalement très convenu, la partie technique ne laissera elle certainement pas de marbre. Tout en 3D, Ridge Racers laisse rêveur devant ses circuits et ses bolides, certes assez anguleux,  mais parfaitement modélisés.

Le bond en avant reste assez stupéfiant lorsque l'on prend la première fois en main la bête. Graphiquement, on se rapproche des premières productions sur PS2, avec notamment des textures pas toujours très complexes, sauf pour les panneaux publicitaires de début de course (sic). Une plastique réussie qui ne paraît pour autant pas faire souffrir la console portable de Sony, tant la fluidité est au rendez-vous avec un frame rate élevé. L'écran, lumineux et chaleureux à souhait, y est aussi certainement pour quelque chose dans cette débauche d'éclat et permet aussi de profiter d'une interface très complète sans gêner la lisibilité de l'ensemble, grâce à sa grande superficie et son format panoramique. On dispose ainsi de toutes les informations nécessaires en course avec nos différents temps au tour, les écarts de temps, l'état des bouteilles de nitro, une mini-map, ou encore des compteurs différents pour chacune des marques des bolides. Tout n'est pas parfait non plus puisque l'on notera un léger aliasing et scintillement au second plan, des défauts qui rappellent étrangement la PS2. Malgré tout, techniquement, Ridge Racers assure et surtout rassure sur le potentiel de la PSP, que les prochains titres sauront certainement encore mieux exploiter d'ici quelques temps. Le prix à payer pour cette qualité est sans doute les temps de chargement, généralement assez longs et trop fréquents. Côté sonore, si les petites enceintes de la PSP offrent une restitution assez moyenne de la musique, Ridge Racers propose tout de même une bande-son entraînante et complète, toujours dans un registre très techno avec de nombreux remix d'anciens tubes de la série de Namco. Une ambiance qui colle toujours à la perfection avec le gameplay explosif alors que les effets sonores relatifs aux bolides sont eux plus monocordes et impersonnels. La localisation française est enfin très correcte.

                  LA NOTE MADE-IN-GAME: 16/20

                                                                                                                                                                                                                                                                                               Domi